Honoré de Balzac, né Honoré Balssa à Tours le 20 mai 1799 (1er prairial an VII)
et mort à Paris le 18 août 1850, est un écrivain français.
Il a été à la fois critique littéraire, essayiste, dramaturge, journaliste, imprimeur, mais on retient surtout de lui son immense production romanesque qui compte 137 romans et nouvelles parus de
1829 à 1852. Travailleur forcené, fragilisant sa santé déjà précaire par des excès (il mourra d'ailleurs prématurément à 51 ans), endetté par des investissements hasardeux, fuyant ses créanciers
sous de faux noms dans différentes demeures, Balzac a vécu de nombreuses liaisons féminines avec des aristocrates et il a finalement épousé la comtesse Hanska en 1850, après l'avoir courtisée
pendant près de vingt ans.
Honoré de Balzac est un des maîtres incontestés du roman français dont il a
abordé plusieurs genres : le roman historique / politique, avec Les Chouans, le roman philosophique avec le Le Chef-d'œuvre inconnu, le roman fantastique avec La Peau de chagrin, le roman
"poétique" avec Le Lys dans la vallée. Mais ses romans réalistes et psychologiques les plus célèbres comme Le père Goriot ou Eugénie Grandet, qui constituent une part très importante de son
œuvre, ont induit, souvent, une classification réductrice d'« auteur réaliste»[4], alors que l'on trouve chez lui de nombreuses traces du romantisme de l'époque, notamment la place faite au
sentiment amoureux dans Les Chouans ou Le Lys dans la vallée, au fantastique dans La Peau de Chagrin), ou encore aux déchirements du génie dans Louis Lambert
Nous sommes surpris par ce monument tout en verre ,
il était impressionnant
Je n'ai trouvé aucun renseignement
concernant cette princesse
J'aime bien cette photo avec le reflet des arbres
Issu d'une famille aisée, Ticky Holgado abandonne relativement tôt les études,
préférant se lancer dans une carrière plus séduisante
de musicien et de chanteur.
De galas en concerts, il sympathise avec quelques grandes vedettes de l'époque
yé-yé, devenant même le secrétaire particulier de Claude Francois, puis de Johnny Hallyday à la fin des années 60.
Un pied dans le show-business, il fait une première apparition au cinéma en 1980 dans Les Surdoués de la première compagnie, une série Z signée Michel Gérard, puis dans Putain d'histoire
d'amour de Gilles Béhat (1981).
Après une multitude de petits rôles dans des films à l'humour plutôt potache, il change de registre et interprète en 1987 un inspecteur dans Les Keufs de Josiane Balasko. En 1991, grâce à son
interprétation de Crayon, le SDF bavard et maladroit d'Une époque formidable, réalisé par Gérard Jugnot, Ticky Holgado connaît la consécration et impose son image d'acteur populaire et
gouailleur. Bien que rarement en tête d'affiche, il est ensuite très présent dans le paysage du cinéma français.
On le retrouve dans Gazon maudit (Josiane Balasko, 1995), Le Plus beau métier du monde (Gérard Lauzier, 1996), ou encore Le Schpountz (Gerard Oury, 1999). En 1999, il décroche enfin un premier
rôle dans Le Sourire du clown, un polar signé Eric Besnard avec Bruno Putzulu.
Au cours d'une carrière riche en seconds rôles de qualité, Ticky Holgado, comédien fidèle, aura forgé de solides amitiés avec les cinéastes français les plus renommés, tels Gérard Jugnot,
Jean-Pierre Jeunet (Delicatessen, La cité des enfants perdus, Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain, Un long dimanche de fiançailles) ou Claude Lelouch (Les Misérables, Hommes, femmes : mode
d'emploi, Les Parisiens).
Né en 1948, Philippe Khorsand a très vite la vocation d’être acteur.
Il s’inscrit notamment au Cours Simon à l’âge de 15 ans.
C’est là qu’il rencontre Jean-Michel Ribes, avec qui il sera amené à travailler très régulièrement.
Philippe débute au cinéma dans un film de Georges Lautner,
“Attention, une femme peut en cacher une autre”.
En 1966, il fonde avec Ribes la compagnie de théâtre du Pallium. Philippe est connu pour des seconds rôles dans différents films comiques et également pour sa participation à la série
mythique “Palace”.
En 1989, il devient pensionnaire de la Comédie Française.
En tout, Philippe a joué dans plus de 30 pièces de théâtre dont 10 mises en scène par son comparse Ribes.
Ces dernières années, Philippe Khorsand était visible à la télévision pour une publicité de la MAAF. Philippe nous a quitté le 29 janvier 2008 à la suite d'une hémorragie interne...Il était âgé
de 59 ans...
Marie Trintignant , née à Paris le 21 janvier 1962 et décédée à Neuilly-sur-Seine
le 1er août 2003, France, est une actrice française,
fille de Nadine et Jean-Louis Trintignant.
Elle commence sa carrière d'actrice de cinéma en 1966 à l'âge de quatre ans avec Mon amour, mon amour de Nadine Trintignant au côté de son père Jean-Louis Trintignant, avant d'enchaîner dans
d'autres films de sa mère.
En 1979, alors qu'elle a 17 ans, sa carrière d'actrice commence véritablement avec Série noire (1979) d'Alain Corneau (dont le scénario est tiré d'un livre de Jim Thompson - A Hell of a woman -
et les dialogues de l'écrivain oulipien Georges Perec) qui entre dans les annales du film noir grâce à l'ambiance sombre et désespérée qui en émane.
C'est dans les années 1980 qu'elle prend toute sa dimension grâce à Claude Chabrol. Son timbre de voix grave et son regard profond sont mis en valeur dans Une affaire de femmes - film dans lequel
elle incarne une prostituée, amie du personnage incarné par Isabelle Huppert - et dans Betty, dans lequel elle tient le premier rôle, un personnage d'alcoolique en rupture avec sa famille
bourgeoise et qui provoque le désordre dans le couple qui la recueille. Dans les années 1990, elle a le premier rôle dans Une nuit d'été en ville de Michel Deville. Elle se met à la comédie avec
des films comme Cible émouvante ou encore ...Comme elle respire, deux films de Pierre Salvadori où elle donne la réplique à Guillaume Depardieu. En 2000, sous la direction de sa mère Nadine
Trintignant, elle joue le rôle d'une militante du droit à l'avortement dans le téléfilm Victoire ou la douleur des femmes.
La diversité de ses rôles en fait une actrice énigmatique difficile
à classer dans un registre précis.
Rapatriée en France le 31 juillet 2003 en état de mort cérébrale, suite à un coma profond provoqué par les coups portés par son compagnon Bertrand Cantat au cours d'une dispute, dans la nuit du
26 au 27 juillet 2003
(alors qu'elle tournait le téléfilm Colette, une femme libre à Vilnius en Lituanie), elle meurt le lendemain, 1er août 2003, à Neuilly-sur-Seine. Marie Trintignant a été enterrée au cimetière du
Père Lachaise (45e division) le 6 août 2003, par une foule vêtue de clair comme l’avait demandé sa famille,
ont rapporté les journaux.
Son cercueil a alors été recouvert de tournesols, sa fleur favorite.
Le matin, un hommage avait réuni des proches au théâtre Édouard-VII pour des lectures de textes et chansons joués ou appréciés par Marie Trintignant. Le 13 mai 2007, Bertrand Delanoë, maire de
Paris, a inauguré un square en son hommage : le square Marie-Trintignant est situé entre l'hôtel de Sens et la Seine, rue de l'Ave-Maria, dans le 4e arrondissement
Sophie Daumier, de son vrai nom Élisabeth Simonne Juliette Clémence Hugon,
comédienne française est née le 24 novembre 1934 à Boulogne-sur-Mer et est décédée le 1er janvier 2004 à Paris.
Elle est inhumée au cimetière du Père-Lachaise (division 45). Fille du
compositeur de musique classique Georges Hugon, Sophie Daumier suit des études de danse classique au Châtelet (Paris) et des cours de dessin.
À 16 ans, elle part en tournée à l'étranger avec une troupe de ballet de
French Cancan, sous le pseudonyme de Betty Hugon. Dotée d'un physique à la Brigitte Bardot, Sophie Daumier est engagée au cabaret de La Nouvelle Eve comme chanteuse fantaisiste, sous le
pseudonyme de Betty Laurent.
Elle devient par la suite comédienne de théâtre, après avoir suivi les
enseignements de Pierre Dux et de Raymond Girard. Elle débute au cinéma en 1955, dans "Paris canaille", sous le pseudonyme de Betty Daumier. Au début des années 1960, elle a une liaison avec le
rocker Vince Taylor. En 1963, elle tourne "Dragées au poivre", film musical, aux côtés de Claude Brasseur et de Francis Blanche, et où elle rencontre Guy Bedos, déjà croisé au théâtre dans
Cyrano de Bergerac. À cette époque, elle a un fils de 7 ans, Philippe, qui chante d'ailleurs une des chansons du film, "Lili Gribouille", et que Guy Bedos reconnaîtra plus tard. Philippe sera
atteint plus tard par la même maladie que sa mère. Elle perce vraiment au théâtre dans "Patate", de Marcel Achard, qu’elle joue pendant six ans. C'est à cette époque que, sur les instances de
Marcel Achard, elle se choisit un nouveau prénom, Sophie, et un nom de scène définitif, Daumier, nom de jeune fille de sa mère. Guy Bedos et Sophie Daumier vont finalement unir leurs destins à
l'occasion du spectacle "Milord L’Arsouille". Ils se marient en 1965. Leur carrière commune durera une dizaine d'années. Ils interprètent ensemble de nombreux sketchs, écrits par Jean-Loup
Dabadie, notamment « La drague » (1972), qui connut un immense succès populaire et qui reste la référence de leurs duos, « Tête-bêche » ou « Les vacances à Marrakech ». Sophie Daumier exprimait
ainsi ses immenses talents de comédienne, composant avec aisance des personnages de jeune femme tour à tour drôle, peste, ironique, tendre, grimaçante ou boudeuse, en contrepoint de son visage
d'ange. Sophie Daumier et Guy Bedos divorcent en 1977. Sophie Daumier poursuit sa carrière de son côté, jouant notamment dans "Une histoire simple" (1978), de Claude Sautet. Deux ans plus tard,
elle publie des souvenirs teintés d'amertume : « Parle à mon cœur, ma tête est malade ». Atteinte, comme sa mère et son fils, par la chorée de Huntington, maladie génétique qui entraîne une
dégénérescence neuronale irréversible, elle est contrainte de réduire ses activités. En 1988, pendant la comédie musicale "Starmania", elle lance un appel pour qu'on vienne en aide aux victimes
de cette maladie.
Décédée la nuit de la Saint-Sylvestre, ses obsèques sont célébrées à l'église
Saint-Roch (Paris), paroisse des artistes, le 1er janvier 2004. Sophie Daumier est enterrée au cimetière du Père-Lachaise (45e division),
sous une simple plaque de ciment, entre les sépultures
de Marie Trintignant et Gilbert Bécaud.
Gilbert Bécaud (24 octobre 1927 à Toulon, 18 décembre 2001 à Paris), inhumé au
cimetière du Père-Lachaise (division 45), de son vrai nom François Gilbert Léopold Silly (du nom du mari de sa mère à sa naissance, directeur des jeux), est un chanteur compositeur, pianiste et
acteur.
Il reprend par la suite le nom de son père biologique, « Bécaud ». Il se produisit 33 fois sur la scène de l'Olympia où il y gagna son surnom de "Monsieur 100 000 volts". Il laisse l'image d'un
homme électrique, toujours en mouvement. Sa cravate à pois, ses quelques 400 chansons et sa main sur l'oreille lors de ses concerts sont d’autres images qui ont marqué les esprits. Bécaud se
glissait d'une chanson à l'autre dans les personnages très différents décrits par ses trois auteurs, maintenant son public en éveil... et enthousiaste si l'on en juge par les fauteuils souvent
cassés par l'agitation du public. Dans les années 1990, Bécaud collabore avec Mick Lanaro pour l'album : "Une vie comme un roman" chez BMG 1993, avec son fils Gaya Bécaud en 1996 pour l'album
"Ensemble" puis avec André Manoukian pour l'album : "Faut faire avec..." EMI 1999.
Sa cravate à pois était pour lui un fétiche et un porte-bonheur car elle a une histoire : Gilbert avait étudié le piano et, encore jeune, cherchait du travail.
Il s'est présenté pour faire un essai dans un piano-bar qui recherchait un pianiste remplaçant (le pianiste habituel était Jacques Datin).
Mais le patron lui a dit que c'était impossible, compte tenu de l'image de marque de son établissement, car il ne portait pas de cravate.
Comme il était accompagné de sa mère qui portait une robe bleue à pois blancs, celle-ci a immédiatement découpé le bas de son vêtement pour en faire un semblant de cravate que Gilbert a
noué autour de son cou avant de retourner voir le patron du bar, qui l'a laissé jouer et l'a immédiatement embauché. Depuis ce jour, Gilbert Bécaud s'est toujours présenté sur scène avec une
vraie cravate à pois, sans jamais changer de modèle, en souvenir de ce premier épisode de sa carrière.
Gilbert Bécaud se produisait toujours sur scène avec le même piano qui avait une particularité : il était légèrement incliné. En effet, Gilbert tenait à voir la salle lorsqu'il était assis
au piano et, pour cela, il avait demandé à Jacques Dinnat (son régisseur) de faire couper l'un des trois pieds de l'instrument afin de lui donner l'inclinaison nécessaire, ce qui a été réalisé
par un menuisier de la région parisienne. Cette inclinaison, à peine visible pour un œil non averti, était suffisante pour obtenir le résultat voulu, sans être gênante pour son jeu ou celui de
Gilbert Sigrist, pianiste qui l'accompagnait alors régulièrement.
c'est vrai qu'il y a de la lecture, mais j'ai découvert plein de petites choses
sur ces personnalités
que je ne connaissais pas forcément
Mardi
soir
vous verrez, d'autres personnalités;
Edith Piaf, Henri Salvador entre autres